- Pas aussi facile d’assumer le statut de freelance : cet article de 01net datant de 2007 nous présente ici, en se basant sur le témoignage de différents profils de freelances, l’évolution de l’activité de travailleur indépendant dans l’informatique et les raisons qui poussent les informaticiens à franchir le cap. A lire.
Christophe voit des avantages à son statut : « Pouvoir dire non aux marchands de viande » ; « Ne plus avoir affaire au management des SSII » ; et si l’activité est au rendez-vous, « gagner convenablement sa vie » . Pour autant, il se montre guère optimiste sur le moyen terme. Il sera en mission les cinq prochains mois. Après, c’est l’inconnu. « Nous sommes tributaires du moindre retournement de tendance. Les SSII ne nous appellent que lorsqu’elles n’ont pas de ressources internes disponibles. » A la moindre baisse d’activité, leur priorité sera de caser leurs salariés. Exit alors les free-lances.
- Les salaires des informaticiens passés au crible : On y a droit fréquemment, et comme beaucoup j’ai consulte directement la catégorie à laquelle j’appartiens. Résultat : “2-5 ans : 35/40 “. Peut mieux faire …
Hays, cabinet de recrutement spécialisé, entre autres, dans le secteur de l’informatique et des télécoms, vient de réaliser une étude sur les rémunérations des informaticiens.
- Ingénieurs -Beau fixe sur le recrutement : On reparle des étudiants recrutés avant même d’être diplômé, c’est le plein emploi pour les ingénieurs informaticiens. Serait-ce une odeur de bulle ?
Sur les campus des écoles d’ingénieurs, les élèves ont le sourire. « Ils savent qu’ils n’auront aucune difficulté à trouver un emploi à la sortie. Les recruteurs les sollicitent souvent bien avant la sortie de l’école. Beaucoup ont le choix entre plusieurs offres »
- Logica supprime 1 300 emplois en Europe : Au milieu des annonces de recrutement records pour 2008, il semblerait que Logica ait décidé de se démarquer en supprimant 1300 emplois. Acte isolé ou début d’une longue série ?
La SSII Logica (39 000 salariés) vient d’annoncer un plan de restructuration qui devrait, selon un communiqué, « relancer l’activité du groupe et améliorer le rendement des actions ». Reste que ce programme « de revitalisation » passera par la réduction de 1 300 emplois, soit 3% de l’effectif total du groupe : 500 licenciements toucheront la Grande-Bretagne, tandis que le continent européen devrait subir 2% de coupes, en Allemagne, en Suède et également en France.
- Bilan Apec T1 2008 : légère baisse des recrutements dans l’informatique et le conseil : dans cet article on apprend que cette baisse des recrutements n’est pas due à la baisse d’activité dans le secteur mais plutôt aux difficultés des recruteurs de trouver le bon profil. Le marché serait-il si tendu que cela ?
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Intéressant, le Christophe que tu cites. Je n’ai vraiment pas le même point de vue. Je considère que je suis en concurrence avec les SSII. Peut-être pas pour les grands comptes (quoi que), mais pour les PME. Du coup en cas de retournement de tendance, je me retrouve en concurrence avec les SSII… exactement comme quand tout va bien. Pas de quoi m’inquiéter, donc…
Arnaud> tout comme toi je pense aussi être en concurrence avec les SSII (tremblez Cap Gemini, Atos et autres !
)mais je comprends le point de vue de Christophe dans l’article étant donné que les SSII servent de point d’entrée chez les grands comptes.
Et je suis d’accord avec toi pour dire que pour les PME la concurrence SSII/freelance est beaucoup plus évidente.
D’accord avec toi. Finalement, le marché pourrait bien être découpé. Les grosses SSII, qui entrent plus facilement que des freelances dans les grands comptes, ont aussi plus de mal à entrer dans les PME. Un freelance est en général plus agile, plus accessible et meilleur marché qu’une SSII (qui sous-traite parfois à un freelance), facteurs qui comptent pour les PME.
Bonjour,
Je souhaiterais savoir quelle est la meilleure forme juridique pour se lancer en tant qu’independant en info. (EURL, …)
sur une facturation de 450 HT/J sur 200j/an, je vise un CA annuel de 90K€ (TVA déduite). Combien puis-je espérer en garder?
Merci de votre réponse.
FD> pour la forme juridique tout dépend de vos projets, le mieux est de demander conseils à votre CFE ou bien à un expert comptable.
Concernant la facturation, on conseille de prévoir environ 50% pour soi ce qui évite toute mauvaise surprise à priori.